Mis à la porte de l'AS Monaco en février dernier, Vadim Vasilyev reste un personnage très proche du football et particulièrement du football français. Le dirigeant russe représente notamment l'un des personnages qui ont eu une influence majeure dans la très belle période monégasque du milieu des années 2010, avec en point d'orgue le titre de champion de 2017. Un titre après lequel une bonne partie de l'effectif monégasque a foutu le camp, Kylian Mbappé en tête.
Mis à la porte de l'AS Monaco en février dernier, Vadim Vasilyev reste un personnage très proche du football et particulièrement du football français. Le dirigeant russe représente notamment l'un des personnages qui ont eu une influence majeure dans la très belle période monégasque du milieu des années 2010, avec en point d'orgue le titre de champion de 2017. Un titre après lequel une bonne partie de l'effectif monégasque a foutu le camp, Kylian Mbappé en tête.
Courtisé par les plus grands clubs européens, comme le Real Madrid dont il rêvait, le gamin de Bondy a choisi de rester en Ligue 1 et de signer au PSG. Un épisode que Vasilyev a raconté ce dimanche matin, sur le plateau de Téléfoot : « Il m’a dit : ''Vadim, au fond de moi, je sens que c’est trop tôt. Je n’ai joué qu’un an dans mon pays, je suis parisien et je ne veux pas quitter mon pays comme ça. Je veux devenir un grand joueur, ici. Le Real, ça attendra... C’est le feeling.'' Et il a eu raison ! Je l'ai félicité. Je lui ai dit : ''Ils taperont à ta porte, tout le stade Bernabéu va t’applaudir quand tu viendras et tu n’auras pas besoin de confirmer.'' »
Il est là, le patriotisme vrai.