L’Afrique, un continent qui a fini par séduire Jack Dorsey. Le patron de Twitter qui achevait une tournée de près d’un mois sur le sol africain, a annoncé son intention de s’y installer courant 2020. « Triste de quitter le continent… pour l’instant. L’Afrique définira l’avenir (en particulier celui du bitcoin!) », a commenté Dorsey sur Twitter depuis Addis-Abeba, dernière étape de sa visite africaine. « Je ne sais pas encore où, mais je vivrai ici pendant 3 à 6 mois à la mi-2020. Je suis reconnaissant d’avoir pu expérimenter une petite partie », a-t-il ajouté.
L’Afrique, un continent qui a fini par séduire Jack Dorsey. Le patron de Twitter qui achevait une tournée de près d’un mois sur le sol africain, a annoncé son intention de s’y installer courant 2020. « Triste de quitter le continent… pour l’instant. L’Afrique définira l’avenir (en particulier celui du bitcoin!) », a commenté Dorsey sur Twitter depuis Addis-Abeba, dernière étape de sa visite africaine. « Je ne sais pas encore où, mais je vivrai ici pendant 3 à 6 mois à la mi-2020. Je suis reconnaissant d’avoir pu expérimenter une petite partie », a-t-il ajouté.
Sollicité par The Guardian pour apporter quelques détails sur les déclarations de son chef, Twitter a déclaré dans un email : « Nous n’avons rien à partager au-delà du tweet initial de Jack. »
Jack Dorsey a entamé son aventure africaine le 8 novembre par une étape au Nigeria, avant de se rendre au Ghana, en Afrique du Sud puis de terminer par l’Ethiopie. Dans ces pays, le patron de Twitter a rencontré de nombreux entrepreneurs de la technologie, dont des promoteurs de monnaie électronique telle que le Bitcoin, vecteur selon lui d’un développement économique futur pour l’Afrique. Le réseau social a d’ailleurs annoncé son intention d’intégrer l’utilisation du Bitcoin et l’application de paiement Square sur sa plateforme.
Sujet éclipsé, du moins publiquement, les critiques récurrentes dont font l’objet les géants des réseaux sociaux en rapport avec la propagation des discours de haine et de la désinformation en ligne. En octobre, Twitter a annoncé l’interdiction de publicité politique ; une décision suivie à minima, des jours plus tard, par Google qui a durci ses règles sur les publicités politiques. Le grand rival Facebook, qui se dit adepte de tolérance et de liberté d’expression, est resté inflexible sur la question.